Vue depuis notre chambre, sur la gauche : le spot « Impossible ». |
Toujours depuis notre chambre,
juste à droite : le spot de « Bingin » où j’ai pas mal
surfé.
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Il y a
plein de photographes qui prennent des photos un peu en hauteur depuis la
falaise :
Vite Max, t’es suivi de près…
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Miam miam le récif !
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Nous avons visité le temple d’Uluwatu,
dédié aux dieux de la mer et donc situé en aplomb d’une immense falaise
dominant l’océan. Au coucher du soleil nous avons assisté à un spectacle de
danse costumé, mêlé à du chant, qui raconte pendant une heure une histoire sur
les divinités locales. Les enfants ont étés très impressionnés et Célian avait
même carrément peur au début car il faut dire que l’ensemble était plutôt
saisissant : des costumes exubérants aux masques terrifiants, une danse
mystique aux mouvements inhabituels et des chants saccadés aux sons répétitifs
et lancinants, produits par une foule de chanteurs assis qui semblaient rentrer
en transe au fur et à mesure du spectacle, secoués par des mouvements
spasmodiques. C’était très spécial mais à voir.
Rituels religieux avant le
spectacle : prières et offrandes au Pura Luhur Uluwatu.
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Ah les offrandes… un sujet sur
lequel les loulous nous questionnent encore beaucoup. Il faut dire que tous les
jours, ils trouvent devant la maison et partout dans la rue ces petites
offrandes faites de feuilles de bananiers dans lesquelles sont posés des bâtons
d’encens sur un lit de pétales de fleurs, quelques grains de riz, biscuits,
tranches de fruits… C’est vrai que c’est tentant ! Alors allez expliquer à
un enfant de 3 ans qu’il ne faut pas y toucher parce que c’est pour offrir à
leur dieu… « C’est qui dieu ? Pourquoi il les prend pas si c’est pour
lui ? Et pourquoi les chiens eux ils ont le droit de les manger et pas moi ? »
… Ben oui, c’est une bonne question ça !
Les danseuses traditionnelles
avec des cheveux aussi longs que ceux de Raiponce - dixit Océane !
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Autre attraction à l’intérieur du
temple : la « Monkey Forest ». Oui, encore des singes, mais les
singes, ça fonctionne toujours avec les enfants, d’autant plus que ceux-ci
n’étaient pas farouches comme ceux de Kuta-Lombok. Habitués aux touristes, ils
n’hésitaient pas à monter sur le dos des gens ou à piquer les lunettes de vue
(d’un japonais quand on y était) pour les tordre lentement mais
méticuleusement, en regardant la victime d’un air malicieux, du haut d’une
statue. Tout le monde rigolait en regardant le singe faire des grimaces au japonais,
sauf lui bien entendu. Célian s’est fait piquer son sachet de cacahuètes à
distribuer, malgré notre attention, mais ne l’a pas mal pris et était
finalement en admiration devant la façon dont la bestiole avait de tenir le
sachet pour manger (« Regarde papa, il fait comme nous avec ses
mains ! ») sans en perdre une miette. Océane se débrouillait toute
seule comme une grande pour repousser du pied ceux qui s’approchaient trop
d’elle, faut pas exagérer quand même !
Le voleur de lunettes !
Avant de les tordre, il a quand même essayé de les mettre ! Malin !
Le voleur de cacahuètes !
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The Fat Monkey : Celui-là
s’est un peu laissé aller sur les bananes et cacahuètes.
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Nos deux petits singes
préférés ;)
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Une fleur parmi d’autres. Océane
s’est découvert une passion pour les fleurs d’hibiscus et de frangipanier.
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